our mettre en évidence votre marque employeur, il existe de nombreuses manières de le faire, via différents canaux et outils. Tout est question de bien communiquer et de s’appuyer sur un bon storytelling. Mais savoir comment raconter son histoire et sur quels supports la promouvoir n’est pas une tâche aisée. Voici trois conseils pour une communication idéale autour de votre marque employeur.
Miser sur du contenu régulier et intemporel
Si vous avez un site carrière, il faut publier des articles et contenus permanents. Cela peut être des vidéos présentatives, des témoignages recueillis auprès de vos employés, des retours de candidats, de clients, etc. Tous ces éléments apportent une valeur ajoutée à votre société et sont intemporels.
Tout ce contenu – pertinent aujourd’hui mais aussi pour les années à venir – n’est autre que la vitrine de votre entreprise, de vos valeurs et de votre culture. Il est indispensable si vous souhaitez attirer de nouveaux talents. De plus, cela vous permettra d’avoir un bon référencement SEO.
Ce genre de contenu est idéal pour mettre en avant les actualités et événements de votre entreprise. Team building, actions réalisées en interne, passage dans les médias, etc. Tout ce type de contenu a une durée de vie éphémère mais sert votre marque employeur.
En étant transparent sur toutes vos activités – internes et externes- vous donnez une belle image de vous, avant même que les candidats le découvrent eux-mêmes.
N’oublier pas d’ajouter du contenu d’expertise
Enfin, il faut aussi miser sur votre expertise et la partager autour de vous. Écrivez des articles sur vos sujets de prédilection, sur vos réalisations, etc. afin de montrer votre professionnalisme. De quoi rassurer et séduire les futurs candidats.
Dernière astuce : n’hésitez pas à varier vos contenus et vos supports; réseaux sociaux, newsletters, flyers, site carrière, texte, visuel, vidéo, etc. Tous les moyens sont bons pour communiquer autour de votre marque employeur. Tout ceci vous permettra d’augmenter vos chances d’attirer des talents qui peut-être, à leur tour, parleront de votre entreprise.
a sélection et le recrutement ont été la priorité absolue des départements RH belges l’année dernière. L’engagement, l’employer branding et la rétention ont également gagné en importance. Il est surprenant de constater que les professionnels RH sont optimistes. 79 % pensent être capables d’anticiper les incertitudes de l’avenir. Telles sont les principales conclusions du Baromètre RH 2022 réalisé par Hudson et Vlerick.
Cette année, selon les résultats du baromètre, une attention particulière a été accordée au thème de “L’avenir du travail”. Les trois principales priorités des professionnels RH sont : la sélection et le recrutement, l’engagement et le bien-être. La première priorité demeure importante au niveau de la guerre de talents et du marché de l’emploi. “En 2021, le marché du travail étant extrêmement tendu, les organisations ont de plus en plus de mal à pourvoir les postes vacants et à garantir l’arrivée de nouveaux talents”, explique Ellen Volckaert, Senior Manager R&D Hudson.
L’employer branding gagne également en importance en tant qu’élément permettant d’attirer de nouveaux talents. “En outre, la rétention devient plus importante et les entreprises ont de plus en plus de mal à maintenir l’engagement de leurs employés et à s’assurer que les talents existants ne sont pas volés par d’autres entreprises. Il y a donc une bataille en cours dans les différents domaines RH pour maintenir le flux entrant et gérer les talents pour répondre aux besoins de l’organisation.”
Upskilling, reskilling et outskilling
En ce qui concerne les facteurs externes, les responsables RH s’attendent principalement à ce que le bien-être et la santé mentale (84 %) et la numérisation, l’automatisation et l’IA (81 %) pèsent sur l’organisation future du travail. 65 % des personnes interrogées pensent que les compétences et les aptitudes nécessaires seront totalement différentes. D’autre part, près de 60 % pensent que la technologie n’entraînera pas de pertes d’emplois. En outre, 79 % des professionnels RH sont convaincus d’être en mesure d’anticiper un avenir qui comporte de nombreuses incertitudes.
Dirk Buyens, professeur de gestion des ressources humaines à la Vlerick Business School : “Bien que la majorité soit convaincue d’une évolution future des aptitudes et des compétences, notre enquête montre également que les départements RH ne sont pas encore fortement engagés dans cette voie. Seuls 24 % ont déclaré qu’ils faisaient des efforts pour développer une main-d’œuvre flexible. Un tiers (33 %) prennent l’initiative d’enseigner aux employés de nouvelles compétences dans le cadre de leur emploi actuel (upskilling), 19 % réorientent les employés vers un autre emploi au sein de l’organisation (reskilling) et seulement 3 % préparent les employés aux compétences dont ils auront besoin pour un poste dans une autre organisation (outskilling).”
Les trois principaux obstacles qui empêchent les RH de se concentrer davantage sur l’avenir du travail sont : le manque de ressources, le soutien des cadres et l’ajustement des procédures formelles existantes dans l’entreprise.
Au sein des 115 organisations interrogées, des efforts sont déployés pour s’adapter à la nouvelle façon de travailler. Les travaux portent principalement sur le télétravail structurel (83 %) et la facilitation des formes de travail hybrides (78 %). Un peu moins de 70 % des responsables des ressources humaines interrogés sont convaincus que l’espace de bureau physique restera important à l’avenir.
Enfin, l’avenir du travail aura également un impact sur l’organisation du département RH lui-même. Alors qu’auparavant l’accent était mis sur les tâches administratives, un département RH évolue de plus en plus vers un rôle d’accompagnement (87 %) et de stratégie (85 %).
La technologie jouera un rôle majeur dans cette organisation future. Elle le fait déjà aujourd’hui. Les responsables RH interrogés souhaitent utiliser la technologie principalement pour restructurer les rôles et les tâches traditionnels (94 %), pour la formation (86 %) et pour la sélection et le recrutement (84 %). Seule une personne sur trois (27 %) considère la communication comme une piste intéressante pour une plus grande automatisation, et le suivi des employés (32 %) n’est pas non plus une priorité.
on se le dise : l’employer branding est une manière pour vous et votre société de vous imposer comme employeur attractif au sein d’un marché de l’emploi concurrentiel et pénurique. Il est ainsi primordial de miser sur ce qui vous rend unique (vos valeurs, votre culture d’entreprise, etc.) pour attirer de potentiels candidats et écarter toute rivalité avec d’autres employeurs compétiteurs. Par exemple, il importe d’être transparent sur ce qui se passe au sein de vos équipes et de montrer combien vous accordez de l’importance au bien-être de vos collaborateurs. C’est quelque chose que les candidats recherchent de plus en plus.
Dans cette optique, avec la période des fêtes de fin d’année qui pointe le bout de son nez, c’est l’occasion de faire rayonner vos qualités d’employeur et de le montrer à grande échelle. Noël et Nouvel an sont des moments où l’on pense à remercier ses clients et ses employés et à leur accorder une attention particulière.
Un souper de Noël, un petit mail personnalisé, un lunch au bureau, etc. Toutes les idées sont bonnes pour récompenser le bon travail et remercier chacun pour son investissement. Vous pouvez aussi offrir des cadeaux de Noël à vos collaborateurs et à leur famille ou encore demander à l’un de vos cadres de se déguiser en Père Noël et de distribuer des cadeaux.
Autres idées : rassembler les équipes autour d’une bonne cause et aller collecter des denrées périssables, cuisiner (à distance ou dans le respect des mesures) une bûche de Noël, manger du pain d’épices, envoyer des cartes de fêtes personnalisées, etc.
L’idée c’est d’immortaliser ces moments (en photos ou en vidéos) et de les partager sur tous vos supports et dans toutes vos communications. De plus, en réalisant des actions en faveur du bien-être de vos employés, ils ne pourront que vous le rendre bien. Épanouis, ils en parleront dans leur entourage. On ne le dit jamais assez : vos employés sont vos meilleurs ambassadeurs.
Partagez la magie de Noël sur vos réseaux sociaux et sur votre page carrière. Vous pouvez même organiser des concours Facebook et autres pour gâter petits et grands en cette fin d’année. De quoi susciter l’intérêt de potentiels talents.
Enfin, gardez à l’esprit que collaborateurs et clients ne peuvent que se complaire en voyant que vous partager des valeurs auxquelles ils s’identifient. En mettant en place toute une stratégie de marque employeur à cet égard, vous ne pourrez qu’attirer davantage de candidats et vous imposer comme un employeur avec une personnalité engageante.
OpenSpace, le podcast de la communauté RH en Belgique, produit par Références et animé par Alexandre Liégeois, revient sur les dernières tendances et pratiques du secteur. Chaque mois, il propose une interview avec un spécialiste du monde des ressources humaines qui livre ses conseils pour vous inspirer. C’est au tour d’Inge Vandewiele, head of employer branding et employee communication chez AG qui nous parle d’expérience employé et de culture d’entreprise face à la crise.
Inge Vandewiele, head of employer branding et employee communication chez AG
Compagnie d’assurance depuis près de 200 ans à Bruxelles, AG compte environ 4.412 employés et travaille en collaboration avec plus de 245.000 entreprises et indépendants. Inge Vandewiele, head of employer branding et employee communication explique que son secteur est en plein mouvement grâce à la digitalisation : « Les attentes des clients évoluent et offrent de nouveaux défis ainsi que de nouvelles opportunités ».
Avec la crise sanitaire et l’obligation de rester chez soi, il faut trouver un moyen pour garder un esprit de travail, même à la maison. Ainsi, la communication digitale évolue rapidement entre collaborateurs et AG a développé une stratégie pour motiver ses employés, même par temps de crise. L’idée est de réinventer les initiatives centralisées en groupe et de mettre « nos collègues au centre de nos préoccupations et de nos décisions ». Un exemple concret : la course virtuelle. Pendant le confinement, la solitude et parfois le renfermement sur soi-même ont été pénibles pour certaines personnes. L’objectif d’AG était donc de permettre à leurs employés de se reconnecter, même à distance. En allant faire un footing ou même une marche, les collaborateurs pouvaient rester en lien avec leurs collègues grâce à un podcast créé par AG. Ils pouvaient entendre des encouragements pour continuer à avancer et même partager des chansons grâce à une playlist connectée. Préserver et renforcer cette culture de la communication pendant la crise, c’était l’un des buts d’AG.
En mai 2020, lors du retour dans les locaux, Inge Vandewiele explique que la communication empathique a été la clé pour rassurer les collègues inquiets. Des centaines d’appels téléphoniques ont permis de rassurer et de ramener petit à petit les collaborateurs dans les locaux.
Les outils de communication : le réseau social interne
Pour continuer de rapprocher et connecter les collaborateurs, AG met en place son propre réseau social en interne. En janvier 2020, apparaît officiellement Connect AG, un simple changement de nom de la plateforme Workplace by Facebook. Aucune grande différence avec le réseau social classique et c’est une des clés importantes. En effet, proposer un réseau social qui fonctionne de la même manière que Facebook permet de faciliter l’adhésion des collaborateurs dans leur milieu professionnel. Mais savoir comment fonctionne ce réseau ne signifie pas qu’il sera utilisé. Donc il faut convaincre en interne. Pendant 4 mois près de 300 ambassadeurs volontaires ont commenté et partagé des publications sur la vie quotidienne de l’entreprise pour donner envie au reste de l’équipe. Depuis le lancement, plus de 21.500 posts ont été réalisés. Mais, si certains collaborateurs ont peu, voire jamais utilisé Facebook, il faut leur apprendre. Une soixantaine de formations ont été données depuis le début de Connect AG, par exemple pour les manageurs souhaitant utiliser efficacement le réseau.
Des objectifs en trois phases pour une meilleure collaboration
Pour atteindre une collaboration efficace et naturelle au travail, Inge Vandewiele présente trois phases. Comme expliqué précédemment, il faut dans un premier temps une connexion et une adaptation entre les collègues. Après le lancement, l’objectif des 300 ambassadeurs était de donner envie à 80% des collaborateurs de rejoindre la plateforme. Grâce aux formations, AG compte actuellement, 92% d’adhérents. Ils échangent des contenus et alimentent Connect AG dans des groupes de projets restreints ou bien dans des groupes rassemblant l’ensemble des collaborateurs.
Mais en plus d’être un lien entre collègues, le réseau social a pour objectif d’être un moyen d’interagir sur le travail. Le but est de récolter des informations professionnelles et de pouvoir les communiquer par la suite entre les différentes structures. Ainsi, la deuxième phase vise à promouvoir et à interagir sur le travail.
La dernière étape que souhaite atteindre AG, c’est d’aller au-delà des simples échanges entre les collaborateurs et que ce réseau social devienne une aide réelle dans le travail. Qu’il soit un outil de collaboration au quotidien. Connect AG est donc un projet projet parmi l’ensemble des initiatives que l’équipe RH d’AG porte :
En parallèle de Connect AG, l’équipe RH d’Inge travaille sur 3 aspects stratégiques distincts :
des communications stratégiques, comme au niveau de l’employer branding visant à favoriser l’implication des collaborateurs.
communications tactiques pour expliquer et faire la promotion de ces nouvelles technologies auprès des collaborateurs. Par exemple, des campagnes autour de l’importance du réseau et des futurs autres moyens de communication dans l’entreprise, comme le déploiement de Teams.
Les stratégies passent aussi par un ensemble de projets qui améliorent la vie au travail et dans la carrière professionnelle. On peut y retrouver la création d’un campus pour les formations ou encore, des projets autour de l’aménagement du lieu de travail.
L’ensemble de ces stratégies vise à instaurer une culture de la communication au sein de l’entreprise.
Mettre au centre de l’attention le collaborateur grâce à une communication facilitée et un bien-être au travail, comme à la maison, par temps de crise est un pari gagnant pour AG. En janvier 2021, l’étude annuelle de Randstad Employer Brand Research déclare qu’AG est « l’employeur le plus attractif en Belgique en ce qui concerne le travail à domicile et l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée ».
ujourd’hui, développer son image de marque sur le web est devenu indispensable. Bien que l’employer branding soit une discipline à part entière avec un collaborateur voire une équipe qui lui est entièrement dédié, la digitalisation de votre marque employeur requiert l’intervention d’autres profils, plus techniques.
La transformation digitale de votre marque, et de votre entreprise de manière pus globale, doit se faire via des équipes regroupant plusieurs niveaux d’expertise, évoluant en étroite collaboration et non pas en silos organisationnels. Voici 4 métiers indispensables à la réussite de votre transition numérique et avec lesquels vous devrez dialoguer pour développer votre employer branding online.
Un ingénieur technique
Il se charge de la nouvelle mouture de votre représentation online et accompagne tous les aspects techniques et informatiques que peut engendrer votre digitalisation. Il peut par exemple s’occuper de votre nouvel ERP ou bien gérer les potentiels problèmes que votre tout nouvel outil ATS de recrutement pourrait créer.
Ce profil est capable de travailler en back end et en front end. Il a une bonne compréhension des différentes outils informatiques et des outils d’intégration.
Un responsable numérique
Tout grand projet de transformation digitale nécessite un expert aguerri, un responsable capable de superviser tous les changements à venir.
Ce genre de profil présente de bonnes compétences générales, un sens de la responsabilité et de l’expérience probante en gestion de projets de transformations numériques.
Le profil idéal relatif à cette fonction combine le savoir-faire commercial et les hard skills techniques qui lui permettent à la fois de fournir un soutien technique solide et de gérer les objectifs commerciaux. Il est capable de superviser une équipe de collaborateurs.
Ce spécialiste est indispensable dans la collecte et dans le décryptage de vos données. Ses analyses sont précieuses : elles vous permettront de voir ce qui a fonctionné et ce qui a moins réussi, de quoi tirer des conclusions et lancer de futurs projets pour la société.
Ce profil peut interpréter les data et les relier à des résultats commerciaux à différents niveaux. Il pourra aussi vous faire un rapport du nombre de clics que vous avez obtenu sur votre page carrière et si votre site web est fréquemment consulté.
Un professionnel UX (User (e)Xperience)
Les personnes en charge de cette fonction veillent à ce que les solutions digitales soient développées en pensant à l’utilisateur final. Elles se soucient de l’expérience utilisateur. Une bonne UX peut être gage d’une bonne expérience candidat.
Ce genre de profil pose un regard critique sur la réalité digitale de la société, qui doit avant tout être destinée à des clients, qui ne veulent plus perdre de temps dans leur démarche. Le professionnel UX est un expert de l’interaction humaine.
Tous ces métiers vous aideront à accompagner votre transition digitale. Plus globalement, cela vous permettra de déployer une véritable marque employeur online, tout en évitant de vous préoccuper des contretemps et problèmes techniques que peut engendrer ce processus.
ravailler sa marque employeur passe aussi par repenser son recrutement, et, par conséquent, attirer davantage de candidats. Saviez-vous que votre processus de dépôt de candidature influe directement sur le nombre de candidats susceptibles d’aller jusqu’au bout : selon le site culture RH, 49% des postulants jugent le processus de recrutement trop compliqué et 36% se plaignent d’un processus trop anonyme ou automatisé et donc pas assez personnalisé. 27% se disent frustrés par l’absence de suivi et 33% précisent qu’il existe plus d’étapes que de raison.
Comment changer la donne ? De nos jours, le marché de la technologie est en plein essor et concerne de plus en plus de secteurs, y compris celui des RH. Les outils tech sont là pour vous accompagner dans le déploiement de votre marque employeur tout en vous aidant à simplifier votre processus de recrutement. Voici trois outils HR tech pour vous aider à améliorer votre expérience candidat.
#1 Le matching CV
Trouver les offres en adéquation avec son profil n’est pas une tâche simple pour les candidats. Et pourtant… ils rêvent de les trouver en un seul clic. Une chimère quad on sait que, selon une étude easyrecrute, 64% des sites requièrent plus de 20 clics avant de pouvoir postuler à une offre d’emploi!
De votre côté, vous devez garder à l’esprit que vous devez proposer une expérience candidat en accord avec les attentes et avec les usages digitaux actuels des candidats qui postulent.
En d’autres termes, mettez fin à toutes les actions trop chronophages : la création d’un compte candidat pour postuler, le formulaire trop long à remplir, les filtres à sélectionner sur la page carrière (type de contrat, diplôme, localisation, etc.) réduisant ainsi la recherche, …
Pour engager le candidat dans un processus de candidature simplifié et positif, vous devez le guider et lui offrir, sut votre site carrière, un parcours simplifié, optimisé et stimulant. L’idée c’est de lui permettre de trouver les offres d’emploi qui lui correspondent, et ce, rapidement, voire en un seul clic.
Les solutions de matching proposées par CVcatcher ou CleverConnect par exemple, offrent l’opportunité aux candidats de postuler sans remplir de formulaire qui trouvent les annonces qualifiées via leur CV. Il s’agit de la recherche d’offre intelligente : le candidat charge son CV et la technologie de matching extrait les informations clés du CV pour proposer au candidat les offres correspondantes.
Cet outil est très utile en termes de « candidature interactive », un processus auquel de nombreuses entreprises aspirent. En effet, celle-ci est idéale pour optimiser l’engagement du candidat de nos jours : en passant vers un type de recrutement conversationnel (et non plus linéaire et sans interactions), vous boostez chaque interaction avec les futurs chercheurs d’emploi.
Ainsi, déployer un chatbot sur votre site carrière est-il un excellent moyen de simplifier et fluidifier l’expérience candidat : vous accompagnez vos candidats dans leur postulation, vous répondez aux questions qu’ils se posent et vous pouvez même leur faire découvrir les métiers existants au sein de la société et partagez vos valeurs. Dès lors, le chatbot permet de réduire le nombre de clics et optimise l’expérience de recherche du candidat.
Le logiciel Kickmybot permet aux candidats d’accéder à des contenus et des informations qu’ils souhaitet consulter, sur base d’une identification de leur requête via des recherches textuelles, vocales et même via des moteurs de recherches conversationnels (des barres de recherches intelligentes). Le postulant peut donc en toute liberté effectuer sa recherche, oralement ou en saisissant des mots-clés : compétence, localisation, poste, évolution, etc.
C’est sans doute l’alternative à votre recrutement traditionnel dont vous avez le plus fait usage. En effet, avec la crise sanitaire que nous avons traversée, entre autres, la fonction RH s’est de plus en plus digitalisée, le processus de recrutement aussi. Qui n’a pas encore mené d’entretien d’embauche digital via Zoom ou Teams ?
Certes cette forme d’entrevue vidéo a davantage renforcé l’impression de manque de contact humain avec le recruteur mais elle a également participé à redynamiser et à moderniser le processus de recrutement.
Les solutions VisioTalent ou InterviewApp sont encore plus complètes que les traditionnels outils d’appel numérique et permettent de réaliser un entretien vidéo différé. Autrement dit, ce concept sous-entend que l’entretien se déroule sur plusieurs étapes. En fait, le candidat peut répondre à des questions sur une période définie en enregistrant sa réponse sous format vidéo depuis son ordinateur ou son smartphone. Les questions, elles, sont définies au préalable par le recruteur de manière à être segmentées selon plusieurs critères (métier, type de contrat, expérience professionnelle, etc.).
L’entretien vidéo différé a cette spécificité de changer de l’entretien téléphonique classique ou d’un simple appel via Teams ou Zoom. Ce format est plus engageant pour le candidat et l’incite à se vendre davantage que dans une lettre de motivation, par exemple. La vidéo demande un investissement supplémentaire : il faut montrer sa motivation et mettre en avant ses compétences.
Côté recruteur, l’entretien vidéo différé est un véritable gain de temps pour recruter et permet d’avoir un meilleur aperçu du profil du candidat.
Force est de constater que tous ces outils HR tech sont des formules win win pour le recruteur et pour celui qui postule. Enfin, c’est grâce à ces technologies, à l’interactivité et à la personnalisation de l’expérience candidat que vous pourrez bâtir une marque employeur solide et vous démarquer auprès de potentiels candidats.
a crise sanitaire a profondément bouleversé le monde du travail, à tous les niveaux possibles : les employeurs ont dû repenser le modèle économique de leur société ainsi que son organisation, les employés, eux ont dû apprendre à travailler différemment et ont, par conséquent, de plus en plus requestionner leur profession et leurs tâches quotidiennes.
En cette période post-covid et de reprise, il est indispensable de ré-engager vos collaborateurs et de mettre tout en place pour que ces derniers se sentent accompagnés. Pour ce faire, et selon HR Voice, c’est toute une stratégie de communication qu’il faut déployer, et ce, en plusieurs temps.
Écouter pour comprendre
Bien communiquer passe par fournir des éléments de réponse précis aux besoins de ses publics cibles, sous peine de passer à côté des préoccupations réelles et de perdre en crédibilité. Faire preuve d’écoute est d’ailleurs signe de confiance et de considération pour l’employé.
Mettre en place une stratégie d’écoute est donc la première action à mener pour ré-engager vos salariés, ce qui vous permettra de connaître leurs besoins.
Le distanciel a renforcé la nécessité d’écouter via des outils adaptés afin de maintenir une relation de confiance entre employeurs et salariés. Pensez à mener des enquêtes variées auprès du personnel, les sujets à couvrir étant nombreux : organisation du travail, bien-être, reskilling/upskilling, etc.
Sur base des leçons tirées de vos enquêtes, il faudra déployer votre communication de manière ajustée de telle sorte qu’elle réponde à différents objectifs
Recréer la confiance en rassurant ses salariés : la question de la sécurité sanitaire reste primordiale et vous devez y répondre. Sur le plan individuel, soyez transparent quant à vos prises de décision managériales et financières, vos employés ont le droit d’être informés.
Donner du sens à la reprise et inciter à l’action : fédérez les équipes autour d’objectifs concrets, cela permettra de rendre compte de l’utilité de la relance et de chaque rôle dans l’entreprise. Veillez à communiquer régulièrement ces objectifs, de quoi centraliser l’énergie des salariés vers une ambition commune.
Favoriser le bien-être dans tous ses aspects (physique, social, émotionnel, financier, etc.) pour réduire les stress des salariés.
Le ré-engagement de vos collaborateurs est un enjeu de taille au sein de votre société mais aussi dans le cadre du développement de votre marque employeur.
lors que le marché de l’emploi et plus que jamais concurrentiel, dénicher les parles rares tout comme garder ses collaborateurs est devenu un véritable challenge. Comment y répondre ? En boostant au maximum votre marque employeur.
Auparavant, les entreprises axaient beaucoup leur communication sur l’image qu’elle véhiculait auprès de leurs clients. La marque commerciale primait au détriment de la marque employeur, plus tournée vers les candidats. De nos jours, avec des collaborateurs et des chercheurs d’emploi de plus en plus soucieux de travailler dans une entreprise qui partage leurs valeurs et donne du sens à leurs tâches, tout miser sur son image commerciale, n’est plus une stratégie envisageable.
D’après une analyse de Randstad en 2016, 40.000 publications relatives à la marque employeur en France ont démontré qu’une bonne image employeur permettait de réduire les coûts de recrutement et le turnover des employés.
La construction de sa marque employeur est en outre devenue primordiale dans la course aux talents. Saviez-vous que plus de 95% des candidats se renseignent sur les entreprises avant de postuler à leurs offres d’emploi ? Autant vous assurer que votre identité est bien valorisée sur tous vos supports et à travers toutes vos communications. Comment ? Voici 4 astuces pour une marque employeur effective.
1) Développer précisément son identité et sa culture d’entreprise
Avant même de développer votre marque employeur, il importe de faire le point sur votre société : vous devez définir votre culture d’entreprise, vos valeurs, vos points forts mais aussi vos faiblesses. Ce qui vous permettra de mettre en avant vos spécificités, en vous distinguant des autres sociétés. Veillez à ne pas mentir sur vos valeurs, restez en accord avec la réalité du terrain afin de renvoyer une image réelle, plus humaine, de votre structure.
Travailler sur son identité est une activité à temps plein ! Il ne faut pas seulement être actif pendant vos périodes de recrutement. Songez à vous inscrire dans une démarche constante de mise en avant de votre culture : tenez à jour votre site carrière et agrémentez-le régulièrement de nouvelles offres d’emploi, d’articles relatifs à vos actualités en interne comme en externe, de témoignages de vos salariés, etc. L’idée est que les futurs candidats puissent s’identifier à votre structure afin qu’ils aient envie de postuler.
2) Miser sur le storytelling
Votre marque employeur n’est pas une simple affaire RH. Elle doit parler à tous, elle est l’ADN de la société, elle reflète son histoire et doit donner envie à chacun de prendre part à ce récit.
Les candidats aiment les success stories, et encore plus quand elles paraissent accessibles à tous ! Campagnes de communication sur des concepts décalés, vidéos et photos de vos team building, messages coups de poings pour marquer les esprits, témoignages de collaborateurs qui ont été promus, etc. C’est à vous de miser sur tous les moyens de communication RH existants pour garantir votre visibilité et partager une forte image de votre société.
3) Mesurer l’impact de sa marque employeur
Il s’agit d’un passage obligé dans l’élaboration de votre marque employeur : cela vous permettra de peaufiner certains aspects, d’en tirer des bénéfices et de tirer des leçons sur ce qui a moins/peu fonctionné.
Selon le blog Digital Recruiters, deux indicateurs principaux peuvent vous aider à savoir si votre marque employeur à eu un impact considérable : la réduction des coûts liés au recrutement et le taux de turnover. Le suivi de ces deux éléments vous permettra de savoir directement si votre stratégie a porté ses fruits. Le nombre de personnes ayant consulté votre site, vos pages, vos offres d’emploi est aussi un bon indicateur.
Enfin, on ne le dira jamais assez, n’oubliez pas de solliciter vos collaborateurs, ils sont les mieux placés pour vous dire quel est l’impact de votre marque employeur et ce qu’ils en pensent. Pour ce faire, vous pouvez par exemple mettre en place des enquêtes internes pour obtenir des résultats plus précis.
4) Laisser une place à l’événementiel
Rien de mieux qu’organiser un événement pour accroître sa visibilité et valoriser votre marque employeur. Pensez à des opérations qui marquent les esprits et redoublent d’originalité : recrutements insolites, speed dating, partenariats, etc., la jeune génération aime l’innovation et les entreprises qui s’impliquent dans la société, donnez-lui envie de vous rejoindre.
Si le coût de l’organisation d’un événement vous rebute, vous pouvez toujours participer à des événements ou à des salons. À ce propos, Références organise des salons de l’emploi, des rendez-vous incontournables où chaque société dispose d’un stand, véritable vitrine de son identité où elle peut mettre en évidence ses spécificités.
vec la crise sanitaire, le télétravail s’est imposé comme la norme. Un an plus tard, les entreprises continuent à encourager le travail à distance, une méthode professionnelle qui présente son lot d’avantages et d’inconvénients.
Qui plus est, les employés ont plus d’options, dans un monde où le télétravail prime, ils ne sont plus cantonnés à leur environnement géographique et peuvent prétendre à des postes plus éloignés de leur domicile. Les attentes deviennent par conséquent différentes également : les déplacements, l’équilibre vie privée-professionnelle, les horaires adaptés occupent une place centrale.
On le voit la pandémie a bouleversé la manière de travailler et de chercher un emploi. Une réalité que tout employeur doit prendre en compte dans la mise en valeur de son employer branding. Plus que jamais, une marque solide et fiable, à l’écoute de ses collaborateurs et source de stabilité, attire et fidélise les meilleurs talents, même à distance. Voici quelques conseils pour créer ou re-déployer votre marque employeur à l’ère du télétravail et du distanciel.
Comment (re-)pense-t-on sa marque employeur à distance ? Il y a toute une série de notions à re-définir et prioriser. Le concept de « bureau » par exemple, actuellement, revêt un autre sens. Il ne s’agit plus de l’open space et des salles de réunion dans lesquels vos collaborateurs avaient l’habitude de se retrouver. Le « bureau » est désormais une table du salon, une petite pièce, un espace partagé avec d’autres individus en télétravail etc. et la réunion s’effectue au même endroit via un outil numérique.
Que le travail distanciel soit ponctuel ou permanent pour vos employés, de votre côté vous devez vous assurer de concentrer votre employer branding autour d’un but : offrir la meilleure expérience de travail possible.
Re-définir ses priorités ainsi que le contenu de son EVP peut s’avérer être une bonne manière d’amorcer votre réflexion sur votre marque employeur à distance. En effet, il est primordial de comprendre ce qui intéresse les travailleurs à distance (collaborateurs et candidats). Ce ne sont plus le salaire généreux, la voiture de société ou la formation qui séduisent mais bien les bons outils, les bonnes pratiques et les possibilités de choix.
Gardez toutefois à l’esprit que fournir le matériel adéquat et les derniers outils numériques à la pointe à vos collaborateurs ne leur fera pas atteindre forcément « le nirvana du télétravail », il y d’autres critères fondamentaux à prendre en compte d’après le site lasuperagence.com tels que la participation, la liberté et l’engagement.
La participation sur le lieu de travail, malgré la situation, demeure importante. Les télétravailleurs continuent à se préoccuper de la culture du lieu de travail. Comme le démontre l’enquête de la Harvard Business Review : les travailleurs à distance se sentent exclus par leurs collègues travaillant sur site. Près de 60% des répondants en télétravail ont l’impression que leurs collègues sur site font des changements sur un projet sans les avertir.
En ce qui concerne la liberté, les télétravailleurs les plus heureux sont ceux qui avaient le choix de travailler en distanciel, c’est ce qu’il ressort d’une étude menée par TINYpulse. Sur une échelle de 1 à 10, les collaborateurs qui télétravaillent car ils apprécient la liberté et la flexibilité ont estimé leur bonheur à 8,33. Les collaborateurs forcés à télétravailler ont donné la note 7,88. On le voit, la liberté est essentielle dans cette nouvelle normalité professionnelle. La contrainte réduit le bien-être des travailleurs.
Il demeure essentiel que vos travailleurs à distance continuent à se sentir pleinement engagés même s’ils ne sont plus présents physiquement. Un bon travail fourni en distanciel demande beaucoup d’adaptations qui changent les croyances et les comportements de chacun. Par exemple, si vous avez l’habitude de tenir informé vos employés des nouvelles de la société en organisant un événement au bureau, adaptez-vous. Continuez à le faire au regard de l’ère de télétravail dans laquelle nous évoluons actuellement.
Après voir pris conscience de tout ceci, vous pouvez en prendre compte dans le développement de votre marque employeur. Faites en sorte que vos collaborateurs continuent à vous adorer même à distance : donnez-leur de la flexibilité dans leur temps de travail, rassurez-les sur votre management à distance, accordez-leur votre confiance, interdisez-les de rester seuls trop longtemps, formez des équipes soudées, etc.
Enfin, la création (ou le re-déploiement) d’une marque employeur à distance ne s’effectue pas du jour au lendemain, en un claquement de doigts. Cela demande du temps, des efforts et de l’investissement. Si vous vous donnez à 100%, vous ne pourrez qu’être gagnant et attirer les plus belles perles rares et fidéliser les meilleurs collaborateurs.
lus besoin de présenter TikTok ce réseau social qui secoue la stratosphère et toutes les (jeunes) générations confondues. Challenges de danse, de maquillage, play-back, défis en tous genres, etc. Il y en a pour tous les goûts … Et aussi pour les recruteurs ! En effet, de plus en plus de sociétés débarquent sur l’application pour partager leur offre d’emploi ou tout simplement signaler qu’elles sont à la recherche de nouveaux profils. Mais quels sont les avantages à recruter sur ce genre de plateforme ?
Lancée en 2016, TikTok est une application mobile de partage de vidéo et de réseautage social. Propriété du groupe chinois Bytedance, la plateforme comptait 100 millions d’utilisateurs en Europe en septembre 2020. Une véritable mine d’or pour les entreprises en manque de candidats, qui n’hésitent pas à profiter de la popularité du réseau pour attirer de nouveaux talents. Mais quelles sont les principales raisons qui les motivent ? Quels avantages y-a-t-il à recruter su TikTok ?
Diversifier le sourcing des candidats
L’application est à voir comme une plateforme complémentaire aux sites de recrutement et aux réseaux sociaux classiques. Avec sa notoriété et son nombre d’utilisateurs qui ne cesse d’augmenter, il serait dommage de ne pas se rendre visible auprès de 1,8 millions d’utilisateurs âgés entre 16 et 64 ans d’après les chiffres l’étude de We Are Social et Hootsuite. Ce qui correspond à un taux de pénétration de 21,4 % chez la population issue de cette même tranche d’âge, contre 9% à la même époque en 2020.
Toucher un nouveau public
TikTok à l’instar d’Instagram et Facebook est un outil idéal pour attirer les jeunes candidats, ceux de la génération Z, entre autres, étant donné qu’ils utilisent majoritairement l’application. Selon le site myrhline.com, l’intervalle des 16-24 ans représente 41% des utilisateurs de Tiktok. De quoi se faire connaître auprès des jeunes diplômés et de cibler les offres auprès d’un public spécifique.
Rajeunir son image de marque
De manière générale, passer par les réseaux sociaux pour parler de sa marque employeur sert à donner une image moins conventionnelle : une fois croisée sur TikTok (ou sur un autre réseau social), l’entreprise paraît plus humaine, plus proche des candidats qui utilisent la même application. Elle aura une image plus ‘fun’, plus accessible et transparente qui peut venir booster la sollicitation et accroitre davantage l’envie de postuler.
Réinventer la manière de s’adresser aux candidats
En utilisant l’humour, la vidéo marrante, ou en captant l’attention avec des visuels colorés, de la musique, des sketchs, des défis, etc. vous vous adressez d’une manière nouvelle aux candidats et vous simplifiez le processus de recrutement. Ils n’ont plus besoin de chercher les offres d’emploi sur les sites de recrutement, celles-ci viennent directement à eux et apparaissent dans leur fil d’actualité.
La liste des avantages est encore longue. TikTok semble bel et bien s’être imposé comme le nouvel outil de recrutement en vogue. Encore faut-il savoir comment mener à bien sa campagne de recrutement sur l’application. Il existe plusieurs options. Les entreprises peuvent payer du contenu sponsorisé, faire appel à des influenceurs ou publier directement sur leur compte.
Par exemple, l’entreprise La Rosée, société française spécialisée dans le cosmétique, cherchait en septembre dernier un candidat parfaitement à l’aise sur les réseaux sociaux pour réaliser une mission en communication. Pour ce faire, la directrice de la société a créé un compte TikTok et a posté une vidéo dans laquelle elle danse avec une collègue, avec en commentaire une invitation à postuler via une vidéo TikTok, accompagnée des hashtags #job et #alternance. Résultat ? La vidéo a récolté plus de 170.000 vues.
Autre option : le contenu sponsorisé. Cette solution permet à l’entreprise d’apparaître dans le feed des utilisateurs sans qu’ils ne soient abonnés à sa page. Celle-ci n’est d’ailleurs pas obligée d’avoir un compte TikTok pour créer du contenu : le post apparaît alors sous forme de publicité et peut cibler directement le public recherché. Un exemple : il y a quelques mois, Système U recherchait des apprentis bouchers. Avec son contenu sponsorisé, l’entreprise a pu cibler tous les jeunes de moins de 30 ans intéressés par les métiers de l’artisanat, de la cuisine et de l’univers de la food en général.
Plusieurs employeurs choisissent en outre de faire appel à des influenceurs pour attirer de nouvelles recrues et booster par la même occasion leur capital sympathie auprès d’un jeune public qu’elles ont parfois du mal à séduire. C’est notamment le cas de la SNCF qui, avec l’agence Bolt Influence qui met en relation marques et influenceurs, a choisi 7 influenceurs chargés de faire découvrir 7 métiers méconnus à leurs communautés. Bilan très positif : hausse des candidatures et du trafic sur le site de la société.
Enfin, vous pouvez aussi miser sur des ambassadeurspour propager votre marque employeur et attirer de futurs candidats. Le policier bruxellois @Zekiel007 en est un bel exemple (et belge cette fois-ci). Ce dernier compte plus de 68.000 abonnés à son actif. Avec des vidéos simples et légères, il raconte en quoi consiste son quotidien, ses tâches, comment on fait pour postuler à la police, quelles sont les conditions pour déposer sa candidature, etc. De telles vidéos sont idéales pour créer un lien avec ses abonnés parmi lesquels la police trouvera peut-être de futurs talents.